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Voici pourquoi vous devez masser vos pieds le soir avant de dormir
Tout le corps repose sur eux : les pieds et les chevilles portent notre quotidien alors pas question de les négliger ! 
 
Les pieds constituent la partie du corps qui supporte toute la charge pondérale. Ils subissent souvent des agressions au quotidien et nécessitent un soin particulier. Le massage des pieds offre aux membres inférieurs un moment de détente après une position debout prolongée, une surcharge pondérale ou suite au port de chaussures en permanence les empêchant de respirer. 
 
La massothérapie est l’un des outils de travail les plus importants dans le Manuel du règlement médical. Exercer des pressions sur le corps peut relâcher les tensions corporelles de plusieurs façons. 
 
Une des meilleurs façons de le faire est dans le cadre de ce que l’on appelle la réflexologie. Essentiellement, l’idée est de masser certaines parties du corps, souvent les mains et les pieds, et d’obtenir un résultat positif dans différents endroits du corps. 
 
Masser les pieds à différents endroits est associé à une amélioration de la santé de différents organes. En outre, cela peut entraîner une grande relaxation, réduire le stress, et accroître le désir sexuel. 
 
Masser les pieds aiderait également à améliorer la circulation sanguine, soulage de nombreuses maladies, aide à maintenir un bon équilibre, s’est révélé bénéfique pour le syndrome des jambes sans repos(SJSR), améliore la qualité du sommeil, permet de réduire l’oedème au cours de la grossesse, et est idéal pour votre peau. 
  
Masser le gros orteil serait bénéfique pour vos poumons et votre cerveau. Les deuxième, troisième et quatrième orteils aident à soulager le mal de dent. Le petit orteil est une excellente zone de départ pour soulager les maux d’oreille. L’image ci-dessus est un excellent guide qui vous donnera des résultats optimaux. 
 
Massage du pied : pour quels bienfaits ? 
Le massage du pied permet de : 
 
Stimuler les nerfs grâce aux terminaisons nerveuses présentes dans les pieds. 
Agir sur les différents organes du corps car le pied constitue une mini cartographie du corps. 
De stimuler la circulation sanguine et le drainage lymphatique. 
D’équilibrer les fonctions vitales. 
D’évacuer le stress et de détendre les muscles. 
Profiter d’un sommeil plus équilibré et plus réparateur. 
Massage du pied : les étapes à suivre 
Le massage du pied peut être pratiqué par un masseur spécialiste de la réflexologie, un massothérapeute ou tout simplement par un partenaire. Quelques gestes doivent cependant être acquis pour un massage des pieds réussi. Il est ainsi essentiel de : 
 
Mettre le massé à l’aise pour qu’il puisse jouir des soins prodigués dans la sérénité. 
Utiliser une huile de massage pour un glissement parfait des mains. 
Procéder à un massage de haut en bas, les orteils se trouvant en hauteur. 
Commencer par les orteils. 
Descendre doucement plus bas pour stimuler les organes au niveau du thorax. 
Travailler la partie plantaire avec le dos ou la paume de la main. 
Effleurer les chevilles suivant un mouvement circulaire. 
Finir sur le dessus des pieds avec des mouvements en va-et-vient, plus forts en ascendant et plus légers en descendant. 
Continuer et terminer jusqu’aux jambes. 
Massage des pieds : les précautions à prendre 
Le massage des pieds doit être appliqué sur un sujet sain. Il est conseillé de fournir le maximum d’informations possibles à son masseur avant de bénéficier du massage. L’existence de maladies particulières, cardiaques ou diabète doit être signalée. 
 
En cas de grossesse, il vaut mieux s’abstenir de ce genre de massage sans l’avis d’un médecin. 
 
Les points sensibles du massage du pied 
Quelques points stratégiques méritent d’être particulièrement sollicités au cours d’un massage du pied : 
 
Les orteils : terminaisons des nerfs. 
Le point du cœur : se trouvant sur le pied gauche. 
Le point du foie et de l’estomac situé dans le pied droit. 
La plantaire : la partie qui renferme les points de l’intestin et des organes du péritoine. 
Les chevilles : représentant les organes reproductifs. 
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Massage du pied : les contre-indications 
Un sujet atteint par le diabète doit faire l’objet de précaution particulière lors d’un massage des pieds, car les mouvements appliqués peuvent entraîner une modification de la production d’insuline par le pancréas. 
 
Il est formellement interdit aux femmes enceintes de suivre un traitement réflexologique au cours des trois premiers mois de grossesse. 
 
Les patients présentant des problèmes cardiaques doivent également faire l’objet de très grandes précautions pour éviter que le cœur ne soit stimulé à l’excès.
 

Les bienfaits de l’avocat
1-L’avocat, une mine de nutriments 
Une petite portion d’avocat couvre une grande partie des apports nutritionnels recommandés. Et pour cause, ce fruit contient de nombreuses vitamines et minéraux qu’il est bon de privilégier dans son alimentation quotidienne. Pour une portion de 100 g, il fournit au corps 39% de ses besoins journaliers en vitamine B9, 20% de ses besoins en vitamine E et 9% de ses besoins en vitamine C, autant de nutriments qu’il est bon de consommer régulièrement pour le bon fonctionnement de son organisme. En prenant connaissance de ses valeurs nutritives, il n’y a aucun doute : la réputation de l’avocat n’est certainement pas volée ! 
 
2-L’avocat, votre allié cardiovasculaire 
En raison de sa teneur en acides gras mono-insaturés (oméga 9), la star de nos assiettes est un aliment à privilégier pour prévenir les maladies cardiovasculaires. La raison ? Ce fruit gourmand et crémeux augmente les niveaux de bon cholestérol et a pour effet de réduire les triglycérides, qui augmentent l’accumulation de lipides dans les artères. Une habitude santé validée par la science puisque selon une étude, cet aliment combiné à une alimentation équilibrée réduit les risques de maladies cardiovasculaires. 
 
3-L’avocat, pour prévenir et lutter contre le diabète 
Pour réguler ses niveaux de sucre dans le sang, l’avocat est un remède naturel tout indiqué ! Et nous devons ces mécanismes précieux à la teneur de l’aliment en acides gras mono-insaturés. C’est scientifiquement prouvé : la consommation de ce fruit est un bon geste santé pour maintenir son indice glycémique. Un argument convaincant pour inviter plus souvent cet aliment dans nos salades de saison ! 
 
4-L’avocat, ami de votre ligne 
Qui l’aurait cru ? Malgré son niveau calorique élevé (150 calories/ 100 grammes), le fruit est un aliment à privilégier pour garder la ligne ou perdre du poids. Sa teneur conséquente en fibres enclenche le mécanisme de satiété, un phénomène indispensable pour résister aux fringales intempestives. Selon cette étude, l’avocat permet de contrôler son poids, mais également de réduire la métabolisation des graisses chez les personnes en surcharge pondérale. 
 
5-L’avocat, un allié lors de la grossesse 
Les futures mamans devraient être ravies de cette nouvelle qui les encouragera à ne plus lésiner sur l’avocat. Et pour cause, ce fruit crémeux est riche en folates, un élément nutritif essentiel pour le bon développement neural du bébé. Et cet apport n’est pas seul à être la source de croissance du fœtus puisque l’aliment est également gorgé de potassium et de graisses mono-insaturées qui sont recommandées pour consolider la santé maternelle pendant la grossesse. Ce fait est scientifiquement avéré puisqu’il est recommandé par les chercheurs dans une alimentation prévue pour un développement fœtal satisfaisant. 
 
6-L’avocat, pour préserver votre capital osseux 
Saviez-vous que l’avocat était un allié de vos os ? Et pour cause, le fruit crémeux enclenche des effets réducteurs sur l’ostéo-arthrite, une forme courante de cette maladie dégénérative des articulations. Une raison suffisante pour l’inviter plus souvent à une alimentation variée et équilibrée. 
 
7-L’avocat, l’ami de vos yeux 
Au même titre que la carotte, le fruit crémeux est un aliment à préconiser pour préserver sa vision. Et pour cause, l’avocat contient de la zéaxanthine et de la lutéine, des composés phytochimiques qui améliorent l’absorption de carotène, une substance indispensable pour la santé oculaire. 
 
8-L’avocat, une source imparable de magnésium 
Idéal pour atténuer le stress et le surmenage, le magnésium est un élément nutritif recommandé. Et pour en trouver, il suffit de privilégier la chair d’avocat gorgée de ce sel minéral ! 
 
9-L’avocat, votre allié digestif 
Transit difficile ? Le fruit crémeux est alors un remède naturel tout indiqué. Nous devons essentiellement ces mécanismes digestifs à la haute teneur en fibres de l’aliment. 
 
10-L’avocat, pour plus de tonus 
Grâce à sa richesse en vitamine C, l’avocat constitue un bon allié pour avoir plus de tonus. L’acide ascorbique qu’il contient promeut une plus grande énergie, idéal pour affronter une journée chargée ! 
 
Mise en garde : 
La consommation d’avocat est proscrite dans le cas de calculs biliaires ou de problèmes hépatiques.
L’intestin : Clé de notre santé mentale ?
Le ventre est notre second cerveau. 
 
Dans les laboratoires de recherche, les souriceaux nouveau-nés ont donné des réponses troublantes quant au rôle des bactéries sur le développement et le fonctionnement des organes. Par exemple, soumis à un stress (séparation d’avec la mère), puis gavé d’une bactérie spécifique, Lactobacillus fermentum, le bébé rat a montré une amélioration des altérations des fonctions digestives et cérébrales induites par ce stress, c’est-à-dire que, contrairement à ses camarades placebos, sa barrière épithéliale intestinale est restée intacte et ses fonctions d’apprentissage ont été améliorées. Logiquement, il aurait dû se retrouver chamboulé par cet arrachement à sa mère, avec des fonctions cognitives et digestives diminuées. Grâce à cet apport dans son minuscule intestin, il a pu compenser le trauma. 
 
Parkinson pourrait se développer à la manière de la maladie du prion 
Le directeur de recherche de l’Inserm de l’unité TENS de Nantes, Michel Neunlist, est formel : « Le ventre est notre second cerveau ». Il n’avait pas besoin de cette étude pour le savoir. Ce spécialiste de l’Institut des maladies de l’appareil digestif travaille sur ces questions depuis 1996. « L’intestin a son propre système nerveux qui est très complexe et très dense, explique-t-il. De plus, de nombreuses données confirment le lien entre intestin et cerveau ». Voilà, c’est clair. On le constate chez certains enfants autistes (lire nos témoignages), mais on pourrait bien aussi l’observer dans d’autres maladies du cerveau, telles que Parkinson par exemple. « Quinze ans avant l’apparition de la maladie, l’individu a souvent des symptômes prémoteurs, baisse de l’odorat, troubles du sommeil, de la digestion, essentiellement constipation. Les troubles digestifs pourraient résulter d’une atteinte précoce ou d’une sensibilité accrue du système nerveux entérique aux facteurs déclenchant la maladie », indique encore Michel Neunlist. Plus scientifiquement, il vous explique que Parkinson pourrait se développer à la manière de la maladie du prion. Une protéine impliquée dans la neurotransmission, l’alpha-synucléine, deviendrait anormale. 
 
Lire aussi > L’addiction aux jeux vidéo est-elle (vraiment) une maladie mentale ? 
 
Les raisons en seraient diverses : « Le stress inflammatoire ou oxydant, des virus, des bactéries, certains pesticides, comme la roténone, pourraient métamorphoser les protéines nécessaires au fonctionnement des neurones en protéines toxiques qui, ensuite, se propageraient de neurone en neurone », poursuit le Dr Neunlist. Et comme l’intestin est doté d’un important système nerveux, ces modifications pourraient conduire à des troubles digestifs. D’autre part, l’intestin est aussi connecté au cerveau par voie nerveuse (en particulier avec le nerf vague) ou sanguine, ce qui permettrait aux protéines toxiques d’entraîner une dégénérescence des neurones. Un tel mécanisme pourrait aussi se produire dans d’autres maladies, comme Alzheimer. 
 
L’exposition de notre intestin aux polluants pourrait jouer un rôle majeur dans l’explosion actuelle des maladies chroniques. 
 
Pourquoi certains individus exposés à ces facteurs toxiques déclenchent une maladie et d’autres pas ? Réponse de Michel Neunlist : « Ces pathologies sont multifactorielles et encore mal comprises. Elles sont dues aux expositions à des facteurs environnementaux durant des fenêtres de temps variables. Accompagnées de facteurs génétiques de susceptibilité qui varient également. Ainsi, l’exposition de notre intestin (véritable interface avec notre environnement) et de son microbiote aux polluants pourrait jouer un rôle majeur dans l’explosion actuelle des maladies chroniques. C’est pourquoi limiter notre exposition aux risques devient un enjeu majeur de santé publique ». 
 
Et avant toute chose, nous devons protéger et renforcer notre système immunitaire. Pour cela, il faut que la barrière intestinale reste suffisamment étanche, tout en assurant les échanges nutritifs vers le sang et la lymphe. Entre ses plis, replis, villosités, microvillosités, chacun dédié à une fonction, on s’aperçoit que l’intestin grêle est une sacrée usine de tri. « Le système nerveux de l’intestin ne sert pas qu’à la propulsion du contenu intestinal, ajoute Michel Neunlist. Il contrôle aussi les fonctions de la barrière intestinale et même le système immunitaire. D’ailleurs, des études en cours (par exemple dans la maladie de Crohn ou la rectocolite hémorragique) visent à démontrer l’efficacité de la neurostimulation digestive pour réparer la muqueuse intestinale. Plusieurs analyses cliniques montrent que, avec un microbiote déséquilibré, l’intestin, son système nerveux et le cerveau fonctionnent mal. Ainsi, des modifications du microbiote peuvent induire des altérations du nombre et du fonctionnement des neurones, qui peuvent être restaurés par un microbiote sain, en particulier durant la période périnatale ». Mais attention, cette « grande plasticité intestinale » n’est pas éternelle : chez l’Homme, elle intervient seulement durant les premières années de la vie. Après, c’est à nous de ne pas l’endommager et de préserver notre capital santé. 
 
Michel Neunlist montre des IRM animées où l’on observe le circuit neurologique qui transite de la moelle épinière à l’intestin au stade du fœtus ! Fascinant et un peu angoissant car on mesure l’impact d’une alimentation malsaine sur notre cerveau, la terrifiante maladie d’Alzheimer en ligne de mire. Comme l’explique le Pr Perlemuter, « les métabolites fabriqués par nos bactéries vont dans tous les organes, y compris dans le cerveau ». Pour anticiper et cerner nos risques, les chercheurs en viennent à conclure que des analyses individuelles sont indispensables pour mieux connaître notre microbiote et ses défauts, c’est-à-dire comment les aliments et les polluants peuvent le modifier. Sang, urines, selles et tests d’allergie, c’est long et fastidieux. Ce fut le parcours du combattant des parents d’enfants autistes qui témoignent ici. Ils ont ouvert la voie. Aux scientifiques et à nous d’en profiter.
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